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04 82 29 30 47
6 rue Julien Duvivier 69003 LYON
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Cabinet Frédérique Sultan – Psychologue pour enfant à Lyon
Les
enfants et les
adolescents rencontrent parfois des problèmes pour lesquels ils ont besoin de soutien et de la part des parents, et de la part d’un psychothérapeute. Un changement de comportement (colère, isolement, refus d’autorité…), des pleurs, des peurs et d’autres attitudes inhabituelles et bizarres amènent les parents à consulter. Frédérique Sultan,
psychologue pour enfant, aide les parents à soutenir l’enfant dans ces moments difficiles. Le contexte familial et social influence considérablement le développement psychologique de l’enfant et de l’adolescent (deuil, famille recomposée, déménagement…).

Les principaux motifs de consultation sont les suivants :
- Difficultés d’apprentissage, problème de concentration, attention non soutenue
- Fatigue apparente, tendance à l’isolement, angoisse scolaire, refus d’aller à l’école, phobie scolaire
- Colère, tristesse, hurlements, irritabilité, angoisse
- Problèmes de propreté (énurésie, encoprésie)
- Troubles du sommeil, dépression
- Crise de l’adolescence, troubles de l’alimentation
- Mal-être, maux de tête, maux de ventre…
Le cabinet de psychologie de Frédérique Sultan est installé au 6 rue Julien Duvivier à Lyon, dans le quartier de La Part-Dieu. Il est accessible par la route et par le métro (ligne D, arrêt Garibaldi). Pour fixer un rendez-vous, le téléphone est disponible du lundi au vendredi, de 9 h à 19 h.
Petite enfance à adolescence : quand consulter un psychologue ?
Souvent, l’enfant n’est pas en mesure d’exprimer par des mots le mal-être qui l’oppresse. Son comportement devient son unique mode d’expression. En présence de troubles manifestes, il est important de prendre l’avis du pédiatre, qui orientera le cas échéant, vers le psychologue pour enfant.
A la petite enfance (entre 0 et 4 ans)
La psychothérapeute applique une thérapie adaptée à l’enfant, avec le soutien et le suivi des parents. Une approche ludique, des mots choisis sont utilisés pour amener l’enfant vers l’apaisement.
Les troubles de la petite enfance se manifestent généralement par des pleurs, un sommeil agité, une perte d’appétit du nourrisson. Le bébé a des difficultés à se mouvoir, à saisir un objet, passif ou au contraire trop agité, il s’attache excessivement à un objet particulier (son doudou, un habit...). À deux ans et plus, ce sont des cauchemars récurrents, refus de dormir seul, des désordres de l’alimentation, une attitude généralement instable et incohérente. Plus âgé, des difficultés de langage, l’enfant « fait dans sa culotte » à nouveau…
L’enfance (entre 4 et 12 ans)
La
thérapie individuelle peut s’appliquer à travers des jeux durant la consultation : l’enfant devient réceptif et peut participer à la psychothérapie. Le but est de restaurer la confiance en soi, souvent à l’origine de la perturbation psychologique de l’enfant.
La brusque chute des résultats scolaires constitue un signal d’alarme sans équivoque, mais aussi le recours au mensonge, la maladresse, la tendance à l’isolement, la phobie scolaire, des maux de ventre, des troubles du sommeil, des troubles alimentaires…
L’adolescence (entre 12 et 18 ans)

Le psychothérapeute accompagne l’adolescent en thérapie individuelle : celui-ci exprime les difficultés et les souffrances qu’il traverse ; il peut obtenir les réponses à des questions, donner du sens à son comportement, extérioriser ses sentiments, ses angoisses… La thérapie l’aide à retrouver confiance en soi, et à appréhender l’avenir avec plus de sérénité. Les troubles se manifestent notamment par une hypersensibilité, un repli sur soi, une modification de poids, des troubles alimentaires, des troubles du comportement (névrose, troubles obsessionnels compulsifs…), une angoisse insoutenable, un risque de dépression, etc.
Les difficultés de scolarisation
Même passagère, l’angoisse scolaire est un signe que les parents doivent considérer attentivement. L’enfant se replie sur lui-même, sa timidité devient excessive ; il présente des problèmes de concentration, voire des problèmes de socialisation. Il éprouve des maux de ventre au moment d’aller à l’école, ou de l’eczéma, des manifestations physiques de son mal-être. Sans intervention, le malaise de l’enfant risque de s’aggraver en phobie scolaire. Le risque de dépression est réel, il faut rester prudent. L’angoisse profonde ressentie par l’enfant peut avoir comme origine un traumatisme non traité. La consultation du
psychologue pour enfant aide à rétablir l’équilibre psychoaffectif de l’enfant, afin de le mener à reprendre confiance en soi. La contribution des parents à la thérapie est primordiale, même s’ils n’assistent pas toujours (selon l’âge de l’enfant) à la totalité de la séance.
Les troubles émotionnels
Les troubles émotionnels sont des manifestations de désordres affectifs pouvant être ressentis par l’enfant, l’adolescent et même l’adulte. Ceux-ci se manifestent par des réactions physiques et physiologiques et comportementales. Il s’agit des phobies, une peur excessive dans un domaine particulier. Les peurs profondes sont difficiles à vivre pour la personne, la simple idée de l’objet qui fait peur occasionne des frissons et d’autres malaises. L’anxiété est lourde à porter également, le sujet ne connaît pas la sérénité, avec ou sans motif valable. La tension nerveuse est intense, et la personne s’épuise facilement. La colère est aussi un trouble émotionnel, le sujet ne contient plus son mécontentement face à une contrariété. Physiquement, la personne peut manifester de l’agressivité, avec tous les risques que cela comporte. Ces troubles émotionnels provoquent des malaises tels que des troubles du sommeil, de l’appétit, des difficultés relationnelles, un repli sur soi, la sensation de n’être ni compris ni soutenu par qui que ce soit…
La crise de l’adolescence
À l’adolescence, le comportement de tout enfant change du fait des modifications physiques, physiologiques et psychiques vécues. Un ensemble de transformations lourd à porter, et qui perturbe autant l’enfant que son entourage et ses parents : c’est le cas typique de la crise de l’adolescence. Conscient de ces modifications sans pouvoir rien maîtriser en apparence, l’adolescent souffre de ce passage à l’âge adulte, et manifeste sa souffrance de diverses manières. Le refus de l’autorité du monde adulte, précisément, apparaît sous forme de conflits avec les parents, les enseignants et tout ce qui représente cet univers (forces de l’ordre, dirigeants d’association…). L’adolescent éprouve également un intense manque de confiance en soi, ce qui le paralyse parfois lorsqu’il devrait agir. Il s’oriente alors vers le repli sur soi, et peut envisager une fugue quand l’angoisse est trop lourde. Une fuite en avant, qui n’a pas vraiment de solution.